Encore une fois, des membres des forces de l’ordre ont été ciblés par la haine islamiste. À La Chapelle-sur-Erdre, ce vendredi, une policière municipale a été grièvement blessée au couteau par un individu « radicalisé » qui s’est emparé de son arme avant d’ouvrir le feu et de blesser deux gendarmes lors de son interpellation.
Magnanville, Viry-Châtillon, Rambouillet, Avignon et aujourd’hui La Chapelle-sur-Erdre
En juin 2020, Amnesty International dénonçait dans un rapport « les préjugés racistes et discriminations au sein de la police » en Europe. Quelques mois plus tard, ce sont 118 eurodéputés qui demandaient à la Commission européenne de condamner les « violences policières » au sein de l’Union européenne. Mais la réalité vient bousculer l’aveuglement idéologique de certains en Europe. Depuis des années, ce sont bien les policiers qui sont victimes des violences !
Le phénomène n’est malheureusement pas nouveau, mais force est de constater que les drames se multiplient ces derniers temps : Magnanville, Viry-Châtillon, Rambouillet, Avignon et aujourd’hui La Chapelle-sur-Erdre. Et encore, on ne cite pas les violences quotidiennes, les agressions au mortier, les attaques de commissariat : en 2020 on comptait une agression contre les forces de l’ordre… toutes les heures !
Un multirécidiviste islamiste en totale liberté
Mais l’attaque de La Chapelle-sur-Erdre met en avant une faille gravissime de notre système judiciaire : l’agresseur, Ndiaga Dieye, n’en était pas à son coup d’essai et le traitement des antécédents judiciaires (TAJ) fait part de… 72 mentions à son encontre ! SOIXANTE-DOUZE !!!
Violences volontaires, destruction de bien public, vol avec arme, usage de stupéfiants, etc. Déjà en 2007, il comptait pas moins de quatorze condamnations. Lorsqu’il a attaqué cette policière municipale ce vendredi, cela faisait à peine deux mois qu’il était sorti de prison après avoir séquestré avec un fusil un couple de septuagénaires en 2013.
C’est d’ailleurs lors de son séjour en prison qu’il se « radicalise » au point de figurer sur le Fichier des Signalements pour la Prévention de la Radicalisation à caractère Terroriste (FSPRT).
Mais voilà, comme s’est empressé de signaler Éric Duppond-Moretti, Ndiaga Dieye avait effectué sa peine, il était donc totalement libre. Tout juste était-il « contraint » à un suivi socio-judiciaire par une association. Voilà qui devrait pourtant vous révéler qu’il existe bien une dramatique faille dans le système monsieur le garde des Sceaux !